Banque mondiale

Mise à jour - 31 janvier, 2012

Pauvreté énergétique, climat & Banque mondiale
Les Nations-Unies ont désigné l’année 2012 Année internationale de l’accès à une énergie durable. L’accès à l’énergie, dont les effets sur la santé, l’égalité des sexes et les changements climatiques sont considérables, est la pierre angulaire du processus qui permet de répondre aux besoins en matière de moyens d’existence essentiels. Dans les pays du Sud, 2,7 milliards de personnes comptent sur la biomasse traditionnelle pour cuisiner. Le bois, le charbon et les résidus agricoles utilisés dans les poêles rudimentaires causent plus de 1,5 million de décès par an dus à des maladies pulmonaires chroniques et à la pneumonie infantile. La déforestation en Afrique sub-saharienne, une des sources principales d’émission de CO2, est principalement due à l’utilisation du bois pour la faire la cuisine et produire le charbon.

mise a jour- 31 aout 2010

Les taxes sur les transactions financières sont possibles
Le 16 juillet dernier, le Groupe de travail sur les financements innovants pour le développement, une organisation intergouvernementale rassemblant 55 États membres, a publié un rapport déclarant qu’il était possible de taxer les transactions financières. Ce rapport, commandé par 12 des 55 États membres, a été élaboré par une équipe d’experts financiers internationaux qui s’est concentrée sur les transactions des marchés des changes. Selon le rapport, étant donné que les transactions de devises entre les banques sont traitées grâce à des systèmes internationaux de haute sécurité qui encaissent des frais de transaction sur le change interbancaire, il serait relativement facile de mettre en place dans ce système une taxe sur les transactions des marchés des changes.

Le rapport calcule aussi que l’introduction d’une taxe minime sur les opérations de change de 0,005 % génèrerait 33 milliards de dollars par an et pourrait servir à financer les activités de développement telles que l’élimination de la pauvreté et le développement durable.

Document de politique : Que manque-t-il dans la réponse à la crise financière mondiale? Janvier 2010

Repenser le système financier mondial en temps de crise

Introduction
Les 19 et 20 octobre 2009, l’Initiative d’Halifax tenait une conférence coparrainée par l’Institut Nord-Sud, l’Université d’Ottawa et l’École de développement international et mondialisation (ÉDIM), dont le thème était Que manque-t-il dans la réponse à la crise financière mondiale? Cette rencontre réunissait des experts aux antécédents variés afin d’analyser les défis auxquels l’économie mondiale fait face, de discuter des moyens utilisés par la communauté internationale pour réagir à la crise financière actuelle et d’identifier les lacunes inhérentes à ces réponses.

J’évite le G8 (“Definitely not the G8”)

Definitely not the G8En novembre 2009, la Coalition de l’Initiative d’Halifax espère procéder au lancement d’une programmation en baladodiffusion de plusieurs séries de documentaires, sous la rubrique « J’évite le G8 », (“Definitely not the G8”), anticipant ainsi les sommets 2010 du G8 et du G20 qui se tiendront à Huntsville, au Canada, en juin 2010.

Ces baladodiffusions poursuivent trois objectifs :

  • Sensibiliser le Canada aux problématiques de justice sociale, environnementale et économique dans les domaines des finances et du développement au niveau international qui sont souvent laissées pour compte ou écartées des discussions officielles et des médias grand public.

Mise à jour - le 30 octobre 2009

Des experts examinent ce qui manque dans la réponse à la crise préalablement à la rencontre du G8/G20 en 2010
Les 19 et 20 octobre dernier, l’Initiative d’Halifax coparrainait une conférence avec l’Institut Nord-Sud et l’Université d’Ottawa qui avait pour thème Que manque-t-il dans la réponse à la crise financière mondiale?  Cette conférence visait à engager le gouvernement canadien dans un dialogue avec des universitaires, des militants et des décideurs avant le Sommet du G8/G20 de l’an prochain. On y a abordé des sujets tels que les causes de la crise, les remèdes stratégiques et réglementaires, la gouvernance des institutions financières internationales, les paradis fiscaux et la mobilité absolue des capitaux privés, une crise de la dette en émergence, des solutions de rechange à la reprise du cycle de Doha et les rôles respectifs des Nations Unies et du G20. Un document synthèse comportant des recommandations claires sera émis incessamment.

Conférence: Que manque-t-il dans la réponse à la crise financière mondiale?

Depuis septembre 2008, soit depuis que la crise financière a pris des proportions mondiales, le Groupe des Vingt s’est réuni trois fois à l’échelon des chefs d’État, et il a pris une gamme apparemment impressionnante d’engagements sur des questions fiscales, le financement émergent, le financement commercial, la gouvernance mondiale, la régulation du capital privé et la redéfinition des rôles des anciennes et nouvelles institutions mondiales. Mais que manque-t-il dans leur réponse à la crise mondiale? Qui sont les vrais gagnants et les vrais perdants? Qu’est-ce qui a vraiment changé et qu’est-ce qui n’a pas changé? Et les niveaux de changement sont-ils à la mesure des mouvements tectoniques qui s’opèrent actuellement dans l’économie mondiale et de leur impact sur le terrain? Et peut-être plus important encore, ces changements sont-ils en mesure de nous garantir qu’une crise comme celle-ci ne se reproduira plus?

Quoi? Que manque-t-il dans la réponse à la crise financière mondiale?
Repenser le système financier mondial en temps de crise


Qui?
La conférence est organisée par la Coalition de l’Initiative d’Halifax et parrainée conjointement par l’Institut Nord-Sud et l’Université d’Ottawa.

Quand?
Les 19 et 20 octobre 2009

Pourquoi? La conférence examinera les réponses actuelles à la crise financière, en pointant celles qui n’atteignent pas leur objectif, et proposera des solutions de rechange au moment où le Canada s’apprête à accueillir le Sommet du Groupe des Huit en 2010.

DANS CETTE SECTION

DÉTAILS CONFÉRENCE

Mise à jour - le 30 septembre 2009

Le G8 est affaibli mais vivant; le G20 prend des engagements face à la crise
Si le gros titre du Sommet du G20 d’avril dernier (voir Mise à jour, avril 2009) était l’injection de 1,2 billion de dollars pour lutter contre la crise financière, ce mois-ci, c’est le G20 lui-même qui faisait la manchette, le Groupe des Vingt s’étant autocouronné instance suprême en matière de finances mondiales. Le G8 qui se tiendra au Canada l’an prochain sera, de fait, précédé par une rencontre du G20 qui sera parrainée par Ottawa, conjointement avec Séoul qui présidera le G20 en 2010. Plus tôt, le chef de l’opposition et chef du parti Libéral Michael Ignatief est allé plus loin en suggérant que le G8 devrait cesser de se réunir et en réclamant la création d’un secrétariat permanent du G20 au Canada.

Pages

Subscribe to RSS - Banque mondiale