all

Il y a 15 years 1 month.   .   Le G8 italien sert les primi piatti pour le «G?» canadien de 2010 Parmi les principaux enjeux traités au récent sommet du G8 à L’Aquila, en Italie, notons la sécurité alimentaire, le réchauffement climatique, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) et la responsabilité. L’un des principaux résultats du Sommet a été l’engagement par les pays du G8 et les institutions internationales, dont la Banque mondiale, de mobiliser 20 milliards de dollars américains sur trois ans pour stimuler la production agricole dans les pays en développement. C’est l’un des plus importants virages depuis des décennies en matière d’aide internationale, un enjeu négligé depuis beaucoup trop longtemps. Mais un passé marqué par les promesses brisées laisse tout de même les ONG et la société civile sur ses gardes – sur l’engagement pris par le G8 à Gleneagles en 2005 à l’effet de verser 50 milliards de dollars d’aide au développement avant 2010, dont la moitié à l’Afrique, 15 milliards de dollars n’ont toujours pas été versés. Les leaders du G8 ont aussi convenu, à titre de pays développé, de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 80 pour cent d’ici 2050, bien que le gouvernement canadien ait indiqué après le Sommet qu’il s’en tiendra à son engagement de réduire les émissions canadiennes de 60 à 70 pour cent d’ici 2050! Sur la pauvreté, alors que de nombreux OMD – tels que la réduction du nombre de décès maternels – sont loin d’être atteints, le Sommet s’est rallié à la proposition de Gordon Brown de présenter au sommet canadien du G8 en 2010 une évaluation de la façon dont les OMD pourraient être atteints à temps. Enfin, sur la responsabilité, les leaders du G8 ont convenu d’élaborer un cadre complet pour surveiller l’atteinte progressive des engagements du G8, renforcer l’efficacité de ses interventions et publier un rapport complet à temps pour 2010.   Read more ...
Il y a 15 years 1 month.   .     Read more ...
Il y a 15 years 1 month.   Corporate accountability, IFI governance, IFI policies and positions.   Italian G8 serves primi piatti for 2010 G "?" in Canada Key among the issues addressed at the recent G8 summit in L'Aquila, Italy, were food security, global warming, the Millennium Development Goals (MDGs) and accountability. One of the key outcomes was a three year US$20 billion pledge made by the G8 countries and international institutions, including the World Bank, to boost agricultural production in developing countries. This is seen as one of the biggest aid shifts in decades, to an issue that has been neglected for far too long. But a history of broken promises still has NGOs and civil society on their guard - the G8 pledge at Gleneagles in 2005 of $50bn in development aid by 2010, with half to Africa, is still short by $15bn. G8 leaders also agreed, as developed countries, to reduce their greenhouse-gas emissions by 80 per cent as of 2050, although the Canadian government indicated after the Summit that it would not be budging from its commitment to reduce emissions by 60 to 70 percent by 2050! On poverty, with many of the MDGs - such as reducing the number of women dying in childbirth - already way off track, the summit agreed to a proposal by Gordon Brown to provide an assessment at the 2010 Canadian G8 summit on how the MDGs could be attained in time. Finally, on accountability, the G8 leaders agreed to develop a comprehensive framework to monitor progress on G8 promises, strengthen the effectiveness of their actions, and publish a full report in time for 2010.   Read more ...
Il y a 15 years 2 months.   Corporate accountability, IFI policies and positions.   Rich countries block real change at UN meeting on crisis In June the United Nations was the site of a battle being waged between the G77, a group of over 130 developing countries, and the United States, Canada, Japan and the European Union. The fight was over how to address the financial and economic crisis and efforts to transform and democratize the global financial system and its institutions. The final outcome document of the UN Conference on the World Financial and Economic Crisis and Its Impact on Development is positive in that it represents a truly global response and has opened up space for countries to express their views on crisis. But the document falls short because rich countries blocked it from including more substantive solutions (see JUST THE FACTS).  This is particularly distressing given the wealth of ideas generated in the Stiglitz Commission (IU May 2009), one of the key inputs for the meeting.   Read more ...
Il y a 15 years 2 months.   .   Les pays riches bloquent le changement réel En juin dernier, les Nations Unies ont été le théâtre d’une bataille entre le G77, un groupe de plus de 130 pays en développement, et les États-Unis, le Canada, le Japon et l’Union européenne. La bataille portait sur les moyens de faire face à la crise financière et économique et de transformer et démocratiser le système financier mondial et ses institutions. Le document final de la Conférence de l’ONU sur la crise financière et économique mondiale et ses effets sur le développement est positif en ce sens qu’il représente une véritable réponse mondiale et qu’il laisse une marge de manœuvre aux pays leur permettant d’exprimer leur point de vue sur la crise. Par contre, il manque la cible parce que les pays riches ont réussi à empêcher des solutions plus substantielles d’y être incluses (voir « LES FAITS »). Ceci est particulièrement affligeant vu l’abondance des idées générées par la Commission Stiglitz (Mise à jour, mai 2009), l’un des plus importants apports à cette rencontre.   Read more ...

Pages